Je cuisine à la vapeur douce avec mon Vapok depuis à peu près 3 ans. Ce n’est pas mon mode de cuisson exclusif, j’utilise encore mon four et mes plaques, mais c’est mon mode de cuisson privilégié, comme je l’ai dit à plusieurs reprises. Ce choix dérive de 2 réflexions :  quel est le mode de cuisson qui correspond le mieux à l’alimentation que je veux avoir et quel appareil répond le mieux à mes exigences culinaires. J’ai mis quelque mois avant de fixer mon choix sur cet appareil, et je voulais profiter de ce billet pour partager avec vous mon chemin de pensée (que j’applique maintenant à tous les appareils électroménagers que j’achète).

Pourquoi est-ce que j’ai choisi la cuisson à la vapeur douce

Si la cuisson a été l’un des éléments les plus déterminants dans l’évolution de l’humanité, permettant de conserver la nourriture et d’éviter beaucoup de maladies, c’est aussi quelque chose qu’on a tendance à ne pas remettre en cause. On a beau nous mettre en garde contre les dangers de l’échauffement trop rapide ses aliments (comme avec un barbecue) ou de la déperdition en vitamines, enzymes et minéraux résultant de la cuisson, on continue à tout cuire, tout le temps et à haute température. Ainsi la première question qui se pose est de savoir si on veut continuer à cuire les aliments ou si on veut adopter une alimentation crue. Si l’alimentation crue a ses mérites, elle a aussi ses limites au sens où elle n’est vraiment saine que dans le cas où on utilise des fruits et des légumes d’excellente qualité. C’est aussi un type d’alimentation qui exclue quasiment tous les produits animaux. Pour ces raisons (et d’autres), j’ai cherché une autre alternative.

Le régime cru ne correspondait pas à l’alimentation que je souhaitais adopter. Je me suis donc intéressée aux différents modes de cuisson, avec en tête d’en trouver un qui permette de cuisiner des aliments à la température la plus basse possible. C’est donc très vite que je me suis tournée vers la cuisson à la vapeur douce qui a 2 avantages majeurs : une cuisson à moins de 95°C qui conserve au mieux les vitamines, enzymes et minéraux, et un procédé de cuisson à la vapeur qui permet de débarrasser les préparations des toxines et autres éléments plus ou moins nocifs que je n’ai pas envie d’ingérer.

Pourquoi j’ai choisi le Vapok

Une fois que le mode de cuisson était choisi, la moitié du chemin était faite, il ne me restait plus qu’à trouver l’appareil qui me correspondait le plus. S’il existe plusieurs cuit-vapeur douce, le Vapok a retenu mon attention par l’intelligence de son design et de sa conception. En effet, le Vapok possède 3 avantages majeurs à mon sens :

• Sa base rétrécie qui permet de porter l’eau à ébullition plus rapidement et donc de cuisiner plus vite
• Son couvercle conçu pour que les eaux qui s’y condensent ne retombent pas sur les aliments
• Sa conception en acier 18/10, qui n’affecte pas le goût des aliments lors de la cuisson

J’ai également eu la chance de pouvoir tester l’appareil avant de finaliser ma décision, ce qui m’a permis de me faire un meilleure idée.
Je profite de cet article pour partager une vidéo de présentation du Vapok, pour tous ceux qui ne seraient pas familiers avec l’appareil.